Et ta douceur est éclatante
Ta lumière n’était que latente
Recherchant ton signal, moi j’ai compris ce qu’était que l’attente
J’ai fouillé les étoiles mais ta cachette est épatante
A bord de ma navette une place était vacante
Et si mon âme est une galaxie, je suis un astronaute
A la poursuite de l’ataraxie j’ai pris les astres en note
Et je contrôle mon aphasie car j’écris mon mal en notes
Si mon corps est un vaisseau c’est la Musique qui me porte
Me borde des astres, quand j’élabore mes Arts au bord du désastre
Et j’ai l’accord des astres pour prendre mon départ
Le cœur à la barre, j’aborde l’Espace
Et qui sait c’que l’avenir me réserve, et qui saigne saura vivre sans réserves
Dans le désert de mes pensées le Soleil m’agresse
Et j’manque d’eau, comme un désir de m’élancer quand le sommeil m’adresse
Ces grandes proses
J’entends des airs m’enchanter, le chant des corneilles me repose
Mon délit est un délice s’il me délie de mes délires
Puisque j’ai fugué pour voir l’infini jusqu’à ce qu’au cosmos je m’affilie
J’ai si longtemps vogué à la dérive
Retour du centre de l’Univers je gravite
J’n’ai pas un cœur de pierre mais la peau granite
Et dans l’infini je ne suis qu’une bactérie
La Lune est ma Mère Veilleuse
Le Soleil, mon Père Sévère
Sa lumière est merveilleuse
Grâce à elle je persévère
La Terre est bien trop sérieuse
Comme j’la quitte, j’enterre cette ère ?
Sous son allure mystérieuse
L’Univers unit mes vers, eh
Est-ce que…?
Dis-moi est-ce que…?
Dis-moi est-ce que ?
Est-ce que…? Est-ce que mon corps est en, est en désordre ?
Aucune idée, le vide s’étend désormais
Loin de ma planète je n’ressens plus la gravité de mes actes
Rien ne m’apparaît comme valant le coup de réactiver mes flammes
J’perds pied, mais s’il-vous-plaît ne venez pas me chercher
Je flotte comme les bulles d’un Perrier
Je sors de mon putain de terrier
L’apesanteur me fait remarquer que plus rien n’a de sens
Si tu remarques mon absence c’est que dans le Ciel j’ai pris des vacances
Et j’avance, mais il semble qu’il se soit trompé dans mon format
Qui diable m’a donc foutu dans ce corps-là ?
J’ai passé bientôt deux décennies hors d’moi
A batailler sans cesse contre mon Horla
Ta douceur est éclatante, ta lumière n’était que latente
Mais j’t’ai trouvé car dans mon vaisseau tu m’attendais eh
J’t’ai trouvé car dans mon vaisseau tu m’attends
Ta douceur est éclatante, ta lumière n’était que latente
Mais j’t’ai trouvé car dans mon vaisseau tu m’attendais
Et ta douceur est éclatante, ta lumière n’était que latente
Mais j’t’ai trouvé car dans mon vaisseau tu m’attendais
Et ta douceur est éclatante, ta lumière n’était que latente
Mais j’t’ai trouvé car dans mon vaisseau tu m’attendais
J’t’ai trouvé car dans mon vaisseau tu m’attendais
Je me pose trop de questions et j’écoute le silence des étoiles comme réponse. Astro-notes