[Paroles de "Alicante"]
[Intro]
Oh-oh, oh, oh
Oh, oh
[Couplet 1]
J'baraude Paris, la nuit, j'pète une garette-ci, j'croise un fermier
Pour lui, c'est pas facile, il a du mal à s'en sortir
Il dit : "Ça va trop vite, ici, c'est traître, c'est danger"
Tout l'monde le traite d'étranger, il a du mal à se ranger
Pétasse, les bombonnes, les cent G', il pourrait tuer sans gêne
T'façon, nan, c'est pas mon rôle, y a plus personne qui est lui-même
Y a rien de personnel sauf le business, ça prend la tête
C'est sad donc fais pas la fête, mets un flash, ça f'ra l'affaire
Il essaye de se refaire, ouh, ouais, han
La vie, c'est si moche en vrai, ouais-ouais, ouais-ouais
[Refrain]
Il voudrait s'en aller (Il voudrait s'en aller)
Y a plus personne sur qui compter (Y a plus personne sur qui compter)
Il est trop matrixé, ouais, dans sa tête, c'est Gomorra, Salvatore Conte (Tou-tou-tou-touh, yeah)
Il l'emmène à Alicante, lui, c'est pire qu'un briganté (Lui, c'est pire qu'un briganté)
Il l'emmène à Alicante, ouais, ouais, ouais, lui, c'est pire qu'un briganté (Yah, yah, yah)
[Couplet 2]
Et lui, c'est pire qu'un briganté (Ouais, c'est pire que ça)
Par ici, tout l'monde me connaît (Untel, untel)
Et si tu lui dois du blé (Ah ouais, relou)
Bah, la suite, tu la connais *tir d'arme à feu*
Mais pour les gens comme ça, l'avenir est sûrement trop incertain
Mais pour l'instant, il a le gun sur lui, il est serein
Un, deux, trois boloss, l'appât du gain, ouais, ça donne trop faim
On joue avec le feu parce qu'on sait pas quand est-ce qu'est la fin
Et tu connais la vida loca, bébé cita, j't'emmène à Alicante (J't'emmène à Alicante)
Et toi, tu vends la coca' pour charbo'-bo', c'est bien, faut alimenter (C'est bien, faut alimenter)
[Refrain]
Il voudrait s'en aller (Il voudrait s'en aller)
Y a plus personne sur qui compter (Y a plus personne sur qui compter)
Il est trop matrixé, ouais, dans sa tête, c'est Gomorra, Salvatore Conte (Tou-tou-tou-touh, yeah)
Il l'emmène à Alicante, lui, c'est pire qu'un briganté (Lui, c'est pire qu'un briganté)
Il l'emmène à Alicante, ouais, ouais, ouais, lui, c'est pire qu'un briganté (Yah, yah, yah)