Tout l’amour du monde ce n’est pas assez
Il te faudrait bien plus pour te rassasier
Tant de beauté peut cacher tant de peine
L’éclat de rire couvre l’éclat de verre
Et tu te perds au fond de nos regards
Quand tu y cherches ce qui se trouve en toi
Et tu te perds au fond de ce vieux bar
À vouloir plaire aux autres à chaque fois
Je te connais mieux que toi même
Mais je n’peux soigner ton mal-être
Je te connais je suis pareil
Même si j’fais tout pour ne pas l’être
Je te connais mieux que toi même
Ton passé surgit dans la tempête
Je te connais je suis pareil
On n'peut pas revenir en arrière
Que cherches-tu au fond ? Dis-moi
Que cherches-tu au fond ?
Que cherches-tu au fond ? Dis-moi
Que cherches-tu au fond ?
Tout l’amour du monde ce n’est pas assez (nan)
Il t’en faudrait bien plus pour te rassasier (toujours)
Tant de beauté peut cacher tant de peine (tellement)
L’éclat de rire couvre l’éclat de verre
Tout l’amour du monde ce n’est pas assez
(Tout l’amour du monde ce n’est pas assez)
Il t’en faudrait bien plus pour te rassasier
(Il t’en faudrait bien plus)
Tant de beauté peut cacher tant de peine
(Peut cacher tant de peine)
L’éclat de rire couvre l’éclat de verre
Que cherches-tu au fond ? Dis-moi
Que cherches-tu au fond ?
Que cherches-tu au fond ? Dis-moi
(Que cherches-tu ? Dis-moi que cherches-tu ?)
Que cherches-tu au fond ?
(Que cherches ? Dis-moi)
Que cherches-tu au fond ? Dis-moi
(Que cherches-tu ? Dis-moi que cherches-tu ?)
Que cherches-tu au fond ?
(Que cherches ? Dis-moi)
Que cherches-tu au fond ? Dis-moi
(Que cherches-tu ? Dis-moi que cherches-tu ?)
Que cherches-tu au fond ?
(Que cherches ? Dis-moi)